Active dans la foodtech, elle souhaite à terme opérer un réseau mondial de sites de sous-traitance de protéines alternatives à grande échelle. Selon L’Agefi, la société, qui n’a commencé ses activités qu’au mois de mars, souhaite développer des produits à base de succédanés végétaux à la viande (nuggets, blancs de poulet, burgers, etc.).
Grâce à la fermentation microbienne, qui permet de produire des substituts à la viande, au lait, au fromage ou aux œufs, l’usine devrait être capable de produire chaque année jusqu’à 20 000 tonnes d’aliments. Les premiers aliments pourraient être prêts à la fin de 2023. Dans un second temps, l’entreprise souhaite s’attaquer au marché américain. Les clients ciblés se composent de scale-up dans la foodtech, de détaillants ou de groupes agroalimentaires.
L’équipe est actuellement composée d’une dizaine de personnes et cinq nouveaux postes sont par ailleurs ouverts.