La start-up zurichoise, émanation en 2017 de l’Université et du Kinderspital de Zurich qui travaille sur l’autogreffe des grands brûlés, va observer les effets de l’espace sur les cellules de la peau et la culture de tissus. Cette recherche aura des implications dans le domaine de la sécurité humaine lors de voyages spatiaux, ainsi qu’en médecine régénérative et en ingénierie tissulaire. Ce programme sur quatre semaines s’inscrit dans le cadre d’une collaboration avec l’opérateur jurassien de mini-laboratoires automatisés SpacePharma pour le compte de la NASA.

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