"Les foyers sont éteints", a indiqué à l'AFP une responsable du bureau de presse des gardes-côtes. Seule une fumée âcre continuait de s'échapper de l'Euroferry Olympia, à bord duquel les pompiers ont pu remonter mercredi en fin de journée à la recherche de dix routiers portés disparus.
Le ferry de la compagnie italienne Grimaldi a été remorqué sur quelque 230 km de l'île de Corfou jusqu'au port d'Astakos sur la côte ouest du continent grec, pour reprendre "avec plus de sécurité" les opérations d'extinction du feu et de recherche des passagers manquant à l'appel, selon la même source.
Mardi, les gardes-côtes avaient indiqué que "les possibilités de recherche et de sauvetage à bord du navire Euroferry Olympia étaient épuisées dans sa position actuelle" à Corfou. Mercredi soir, 64 soldats du feu étaient mobilisés à Astakos, selon les pompiers.
Les images du bateau, diffusées par la télévision publique ERT montraient des véhicules carbonisés dans les cales. Le violent sinistre s'est déclaré vendredi à l'aube à dix milles marins au nord de Corfou en mer Ionienne, deux heures après avoir quitté le port grec d'Igoumenitsa en route vers à Brindisi en Italie.
Plainte contre Grimaldi
Parmi les 281 rescapés - 230 passagers dont de nombreux routiers de pays de l'Europe de l'Est et 51 membres d'équipage - figurent deux migrants afghans qui n'avaient pas été enregistrés sur la liste des passagers, laissant craindre que d'autres personnes aient pu embarquer sans être recensées.
Le corps sans vie d'un routier grec a été sorti dimanche du navire en feu. Sa famille a porté plainte contre la compagnie italienne Grimaldi, "tenue responsable" de l'incendie, a indiqué leur avocat Yannis Marakakis aux médias.
L'enquête déterminera l'origine du feu. Mais la compagnie propriétaire du navire a déclaré que l'incendie s'était déclaré dans une cale réservée aux véhicules. Le ferry transportait 153 véhicules commerciaux et 32 voitures, selon le groupe Grimaldi.
Trois routiers restaient hospitalisés à Corfou pour des troubles respiratoires: un Biélorusse sorti vivant par les secouristes dimanche, un Bulgare et un Roumain.
Tous les foyers de l'incendie sont désormais "éteints" sur le ferry italien, selon les gardes-côtes. Seule une fumée âcre continuait de s'échapper de l'Euroferry Olympia, à bord duquel les pompiers ont pu remonter mercredi en fin de journée à la recherche de dix routiers portés disparus.
Le ferry de la compagnie italienne Grimaldi a été remorqué sur quelque 230 km de l'île de Corfou jusqu'au port d'Astakos sur la côte ouest du continent grec, pour reprendre "avec plus de sécurité" les opérations d'extinction du feu et de recherche des passagers manquant à l'appel, selon la même source.
Mardi, les gardes-côtes avaient indiqué que "les possibilités de recherche et de sauvetage à bord du navire Euroferry Olympia étaient épuisées dans sa position actuelle" à Corfou. Mercredi soir, 64 soldats du feu étaient mobilisés à Astakos, selon les pompiers.
Les images du bateau, diffusées par la télévision publique ERT montraient des véhicules carbonisés dans les cales. Le violent sinistre s'est déclaré vendredi à l'aube à dix milles marins au nord de Corfou en mer Ionienne, deux heures après avoir quitté le port grec d'Igoumenitsa en route vers à Brindisi en Italie.
Plainte contre Grimaldi
Parmi les 281 rescapés - 230 passagers dont de nombreux routiers de pays de l'Europe de l'Est et 51 membres d'équipage - figurent deux migrants afghans qui n'avaient pas été enregistrés sur la liste des passagers, laissant craindre que d'autres personnes aient pu embarquer sans être recensées.
Le corps sans vie d'un routier grec a été sorti dimanche du navire en feu. Sa famille a porté plainte contre la compagnie italienne Grimaldi, "tenue responsable" de l'incendie, a indiqué leur avocat Yannis Marakakis aux médias.
L'enquête déterminera l'origine du feu. Mais la compagnie propriétaire du navire a déclaré que l'incendie s'était déclaré dans une cale réservée aux véhicules. Le ferry transportait 153 véhicules commerciaux et 32 voitures, selon le groupe Grimaldi.
Trois routiers restaient hospitalisés à Corfou pour des troubles respiratoires: un Biélorusse sorti vivant par les secouristes dimanche, un Bulgare et un Roumain.