La projection pour l'année suivante a été relevée à 0,9%, contre 0,6% précédemment et s'établit à 0,9% pour 2024 également, indique jeudi l'institution dans son examen.

Alors qu'il évoquait jusqu'ici un phénomène au moins en partie temporaire, le garant de la stabilité monétaire anticipe désormais une situation tendue tout au long des prochains mois pour les prix des produits pétroliers et les biens dont l'approvisionnement continue d'être perturbé du fait de la guerre en Ukraine.

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Les prévisions d'inflation demeurent conditionnées au maintien d'un taux directeur à -0,75% pendant les trois prochaines années.

La BNS doute que la guerre en Ukraine fasse capoter la reprise économique mondiale, écartant dans son scénario de base une grave pénurie énergétique dans les grands espaces économiques. Le rétablissement risque néanmoins de s'en trouver ralenti.

La prévision de croissance pour l'économie helvétique est ainsi ramenée à quelque 2,5%, contre environ 3% jusqu'ici.

La projection pour l'année suivante a été relevée à 0,9%, contre 0,6% précédemment et s'établit à 0,9% pour 2024 également, indique jeudi l'institution dans son examen.

Alors qu'il évoquait jusqu'ici un phénomène au moins en partie temporaire, le garant de la stabilité monétaire anticipe désormais une situation tendue tout au long des prochains mois pour les prix des produits pétroliers et les biens dont l'approvisionnement continue d'être perturbé du fait de la guerre en Ukraine.

Les prévisions d'inflation demeurent conditionnées au maintien d'un taux directeur à -0,75% pendant les trois prochaines années.

La BNS doute que la guerre en Ukraine fasse capoter la reprise économique mondiale, écartant dans son scénario de base une grave pénurie énergétique dans les grands espaces économiques. Le rétablissement risque néanmoins de s'en trouver ralenti.

La prévision de croissance pour l'économie helvétique est ainsi ramenée à quelque 2,5%, contre environ 3% jusqu'ici.