Le dossier de candidature reposait sur les conclusions de l'étude clinique comparative avancée Ascembl, indiquant un taux de réponse moléculaire plus élevé pour le Scemblix que pour le bosutinib, commercialisé par le concurrent Pfizer sous la marque Bosulif. La proportion de patients amenés à abandonner le traitement en raison d'effets secondaires indésirables s'est aussi avérée nettement moindre qu'avec le produit du mastodonte new-yorkais.
La multinationale rhénane souligne dans un communiqué lundi qu'effets secondaires ou résistances peuvent limiter l'efficacité des traitements actuels de la LMC.
Le Scemblix jouit déjà depuis fin 2021 d'une autorisation de commercialisation aux Etats-Unis.