D'ici 2027, la croissance annuelle moyenne doit s'établir à 4%. La marge opérationnelle ajustée doit, elle, osciller autour de 40% sur le moyen à long terme.

L'amélioration de la rentabilité doit influencer positivement le flux de trésorerie disponible et le rendement sur capitaux investis (Roic).

La multinationale souligne concentrer désormais ses investissements dans cinq domaines thérapeutiques: le cardiovasculaire, l'immunologie, la neuroscience, les tumeurs solides et l'hématologie. Le portefeuille de produits homologués contient en outre déjà huit moteurs de ventes, susceptibles de générer plusieurs milliards de dollars par année.

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Du côté de l'incubateur, cinq programmes doivent rythmer l'actualité de l'entreprise ces prochains temps, sur le Kisqali (ribociclib) contre le cancer du sein, sur l'iptacopan contre l'hémoglobinurie paroxystique nocturne, sur le pluvicto contre le cancer de la prostate, sur le remibrutinib contre l'urticaire spontané chronique et la sclérose en plaques, ainsi que sur le Scemblix (asciminib) contre la leucémie myéloïde chronique.

Le projet récemment annoncé d'autonomisation de Sandoz doit toujours parvenir à terme en fin d'année prochaine, avec une cotation primaire sur la place zurichoise et une réplique à New York sous la forme d'American depositary receipt (ADR).

Sur le plan des critères environnementaux, sociétaux et de gouvernance (ESG), le mastodonte pharmaceutique s'engage à améliorer la diversité des patients recrutés pour ses études cliniques et à faciliter l'accès à ses traitements dans les pays à moyens ou bas revenus. Les maladies tropicales négligées constituent une priorité pour la recherche.