La multinationale a notamment échoué à confirmer le critère primaire de survie totale lors de l'étude de suivi Imvigor130, qui devait servir de socle à une pérennisation de l'autorisation accélérée accordée dans un premier temps par le gendarme sanitaire américain FDA à une combinaison de Tecentriq et de chimiothérapie, indique le groupe dans une prise de position diffusée mardi.
Roche et la FDA s'efforceront ces prochaines semaines de finaliser le processus de retrait et en avertir les professionnel de la santé outre-Atlantique. La décision ne concerne en rien les autres indications dans lesquelles le Tecentriq est déjà homologué.