En dessous de 1600 mètres, l'enneigement n'est plus assuré, constate le président du Groupement suisse pour les régions de montagne (SAB), Thomas Egger, dans un entretien diffusé mardi par le Blick.

Les domaines skiables situés plus haut en altitude peuvent être développés, si nécessaire en faisant des concessions pour la protection de la nature, ajoute celui qui est aussi géographe.

En revanche, de nouvelles offres doivent être développées dans les régions de basses altitudes, poursuit M. Egger. "Je vois un énorme potentiel dans le tourisme de santé [...] La population est de plus en plus âgée. Elle est de plus en plus consciente de sa santé. Et les seniors d'aujourd'hui sont plus actifs et souvent plus aisés".

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