Apurés des variations saisonnières, les chiffres d'affaires de la branche ont même progressé de 1,6%.
En termes réels - soit en tenant compte du renchérissement - et corrigés de l'effet des jours ouvrables et fériés, les revenus se sont cependant tassés de 1,3%. Variations saisonnières incluses, ils ont gagné 1,5%.
En excluant les stations-services et les effets calendaires, les chiffres d'affaires des détaillants ont gagné 0,9% en termes nominaux mais perdu 1,6% en termes réels. Le commerce de denrées alimentaires, boissons et tabac a reculé de 0,2% (nominal) et de 1,6% (réel). Le secteur non-alimentaire affiche une hausse nominale de 1,8% mais une baisse réelle de 0,3%.
Corrigés des variations saisonnières et des revenus des pompistes, les chiffres d'affaires ont gagné 1,6% en termes nominaux et 1,5% en chiffre réels. La progression s'est avérée plus marquée dans le non alimentaire que dans le commerce de comestibles, boissons et tabac.