Ce compromis, fruit de tractations très acrimonieuses, doit être approuvé de toute urgence par le Congrès.
Les Etats-Unis pourraient sinon se retrouver dès le 5 juin en défaut de paiement, c'est-à-dire incapables d'honorer leurs engagements financiers, qu'il s'agisse de salaires, de retraites ou de remboursements à leurs créanciers.
Aucun détail n'a été livré sur le contenu de l'accord mais le chef républicain devait s'adresser à la presse dans la soirée.