Le régulateur du Vieux continent a ainsi suivi la recommandation émise en avril par son principal comité consultatif et emboité le pas à l'Agence américaine des médicaments (FDA) qui a rendu la même décision mi-juin.
Le LDGCB constitue la forme la plus courante et agressive de lymphome, souligne le géant pharmaceutique rhénan dans un communiqué mardi. L'approbation européenne ne porte cependant que sur des patients déjà lourdement traités au préalable.
Les standards de traitement actuels ne parviennent à guérir que 60% environ des quelque 36'000 patients diagnostiqués avec cette maladie annuellement en Europe. Les perspectives pour les 40% restants sont limitées.