Les traces de morsure et les analyses ADN montrent que certains ont été victimes d'un loup, indiquent mardi les autorités bernoises. Celles-ci précisent que les animaux tués faisaient partie d'un troupeau de 2200 têtes estivant à la frontière entre les cantons de Berne et Fribourg.

Ce troupeau est surveillé par un berger et accompagné par quatre chiens de protection, mais cela n'a pas empêché la répétition des attaques du loup.

Contenu Sponsorisé
 
 
 
 
 
 

"Les prescriptions légales pour autoriser le tir d’un loup sont remplies", ajoute le canton de Berne. Et de rappeler qu'il faut au moins six animaux tués en l'espace de quatre mois alors qu'ils faisaient l'objet de mesures de protection.