L'objectif est de traiter les données des sociétés de façon sécurisée par le biais du LLM ("Large Language Model" ou grand modèle de langage) et de développer de nouvelles solutions au moyen d'algorithmes, a expliqué la jeune pousse en conférence de presse.
Créée conjointement par plusieurs laboratoires de recherches sur l'intelligence artificielle, dont l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) et sa consoeur de Lausanne (EPFL), SwissGPT veut s'imposer face à la suprématie technologique des Etats-Unis et de la Chine, principaux fournisseurs de ces logiciels.