Celle-ci «devrait regrouper les cantons, la Confédération, les assureurs, les médecins, les hôpitaux, la 'pharma', les autres prestataires de soins et les patients», énumère Thomas Boyer dans un entretien diffusé par Le Matin Dimanche et le SonntagsBlick. «Les différents acteurs doivent arrêter de se renvoyer la balle», sinon «rien ne bouge».
L'initiative de la task force doit venir de Berne, car «le Parlement fédéral doit valider les réformes», relève-t-il. L'arrivée d'un nouveau conseiller fédéral en charge de la santé dans quelques mois est «une opportunité pour insuffler une nouvelle dynamique et construire des vrais compromis», ajoute-t-il.