«L'environnement macroéconomique se développe conformément à nos prévisions pour l'ensemble de l'année», a commenté Chris Kempczinski, patron du groupe, cité dans un communiqué. «Nous continuons d'avoir confiance en notre avenir et en la direction stratégique de notre entreprise».
Le chiffre d'affaires du groupe a progressé de 14% entre juillet et septembre à 6,69 milliards de dollars (un peu plus de 6 milliards de francs), avec des ventes en hausse de 8,1% aux Etats-Unis et de 8,3% à l'international.
Sur le sol américain, les ventes ont profité de «hausses tarifaires stratégiques sur les menus» ainsi que de campagnes marketing «efficaces» et d'une poursuite de la croissance des ventes sur supports numériques et des livraisons.
A l'étranger, les ventes ont été «solides» dans la plupart des marchés, surtout au Royaume-Uni, en Allemagne et au Canada.
Le résultat net a bondi de 17% à 2,32 milliards de dollars, avec une petite charge avant impôts de 26 millions de dollars due avant tout à la mise en oeuvre de son projet stratégique «Accelerating the organization», selon le communiqué.
Rapporté par action et hors éléments exceptionnels -référence pour les marchés-, le bénéfice net ressort à 3,19 dollars, contre 2,68 dollars un an plus tôt.
Ces résultats sont supérieurs au consensus des analystes qui attendaient un chiffre d'affaires de 6,56 milliards et un bénéfice par action de 3 dollars.
Par catégorie de réseaux, les ventes ont grossi de 20% dans les restaurants opérés directement par le groupe et de 10% chez les franchisés.