Les licenciements concernent de nombreux postes de direction et des fonctions sans contact direct avec la clientèle, rapporte un communiqué. Les boutiques Sunrise Shops et le service client ne sont pas concernés par l'annonce.
La société explique vouloir simplifier les structures de l'entreprise et minimiser les coûts pour assurer la flexibilité de la société à long terme. «Depuis la fusion et l'intégration (avec UPC), nous avons considérablement fait évoluer l'entreprise et l'avons préparée pour l'avenir», explique André Krause, directeur général de Sunrise.
La procédure de consultation a été lancée. Les licenciements, prévus entre janvier et mars 2024 au plus tard, seront étudiés avec la représentation du personnel et le syndicat Syndicom. Les postes touchés représentent environ 6,6% du nombre total des 2722 équivalents temps plein (ETP).
«Nous pourrons proposer un plan social destiné à aider les membres du personnel et pas seulement d'un point de vue financier», assure le patron. Un programme de réinsertion professionnelle sera mis en place pour tous les collaborateurs.
Au troisième trimestre, l'entreprise a vu son chiffre d'affaires baisser de 0,6% à 759,1 millions de francs, avec notamment des ventes en téléphonie mobile en recul de 2,3% à 312 millions.