«Notre étude montre que les îlots de chaleur ne sont pas un problème de confort, mais qu'ils ont un coût sur la santé significatif, avec, par exemple, des risques respiratoires et cardio-vasculaires plus élevés qui diminuent l'espérance de vie», explique Gabriele Manoli, professeur assistant à l'EPFL et directeur du Laboratoire des Systèmes urbains et environnementaux (URBES), au sein de la Faculté de l'environnement naturel, architectural et construit (ENAC).

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La recherche de l'EPFL, parue dans la revue Nature Communications, a analysé la situation de 85 villes européennes. Menée sur trois ans, elle tient aussi compte de l'effet protecteur des îlots de chaleur durant l'hiver, un aspect encore peu exploré jusqu'ici, souligne aussi la haute école dans son communiqué.