Seul un développement ambitieux du trafic ferroviaire permettra de concilier l'atteinte des objectifs climatiques avec les besoins de mobilité croissants liés à l'augmentation de la démographie, a dit en substance la ministre des transports Nuria Gorrite. L'objectif est clair: faire doubler la part modale du rail à l'horizon 2050.

Sur le plan national, il s'agit de réduire le temps de parcours entre Lausanne et Berne. Cet enjeu s'accompagne de la nécessité d'augmenter fortement les capacités sur l'axe Lausanne-Genève et sur ceux du Pied-du-Jura et du Simplon.

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Sur le plan régional, le Canton vise une cadence à 30 minutes sur tout le réseau. Elle devra s'abaisser à 15 dans les agglomérations et le long des axes prisés.

L'enveloppe financière globale est estimée à plus de 20 milliards.