L'accord porte sur l'ensemble du parc bâti, à l'exception des bâtiments de l'Etat qui font l'objet d'une autre loi. Les délais fixés pour rénover les biens immobiliers trop gourmands en énergie ne changent pas, sauf pour les villas et les petits bâtiments, qui bénéficient de trois ans supplémentaires pour se mettre aux normes.

L'idée est de travailler sur les grands ensembles qui constituent les plus grosses sources d'économies d'énergie, explique lundi le conseiller d'Etat Antonio Hodgers qui a mené les négociations.

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L'accord comprend également un volet financier. L'Etat entend en effet aider les propriétaires qui procèdent à une rénovation énergétique de leurs biens. De 200 millions de francs initialement prévus, l'enveloppe de subventions passe à un demi-milliard de francs.