«Russie, mon pays bien-aimé» est le portrait singulier d’une nation et celui d’une jeune femme qui refuse de garder le silence. Eléments biographiques et reportages s'y entremêlent.
Elena Kostioutchenko est née à Iaroslavl, en Russie, en 1987, dans une famille pauvre. Elle commence à travailler à l’âge de 9 ans, en faisant des ménages. De son enfance, elle se remémore le «méchant poivrot» Eltsine, la neige de la télévision, puis les films d'aviateurs héroïques combattant le fascisme, raconte-t-elle dans l'ouvrage qui paraît jeudi en français aux Editions Noir sur Blanc.