«Le vapotage n'est pas sans risque. Même si les vaporettes libèrent beaucoup moins de substances toxiques que les cigarettes de tabac, elles libèrent des substances cancérigènes à des taux plus faibles et la nicotine peut entrainer un comportement addictif, en particulier chez les jeunes», a rappelé jeudi l'Université de Berne.
L'étude a évalué l'efficacité, la sécurité et la toxicologie de vaporettes avec nicotine, associées à une aide intensive au sevrage tabagique, comparativement à une aide similaire, mais sans vaporettes. Des chercheurs en médecine de famille, pneumologie, toxicologie, addictologie et en épidémiologie, dans cinq centres d'études en Suisse (Berne, Genève, Lausanne, Zurich, St-Gall), sous la direction de l'Université de Berne, y ont participé.