Dès dimanche soir, avant l'ouverture de la 13e réunion de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) lundi, les représentants de ces pays, dont la secrétaire d'Etat Helene Budliger Artieda, ont approuvé une déclaration ministérielle. Cet arrangement après six ans de discussions n'est pas une surprise étant donné que quelques indications restaient à régler ces derniers mois.
Il doit permettre d'éliminer des obstacles bureaucratiques sur les investissements dans les pays en développement qui freinent leur attractivité. Il aboutira à une stimulation économique et des emplois, dit la directrice générale de l'OMC Ngozi Okonjo-Iweala.
Il faut encore que les pays qui le soutiennent puissent convaincre l'Inde, opposée aux plurilatérales, d'arrimer l'accord aux règles de l'organisation.