«Nous avons généralement besoin de beaucoup moins de pièces que d'autres pays. Il y a donc de la place pour nous» pour passer des commandes communes, déclare Urs Loher dans un entretien diffusé jeudi par les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia.

Mais la Suisse doit aussi prendre des précautions, ajoute-t-il: «Dans les projets d'armement que nous mettons actuellement sur les rails, nous veillons à pouvoir construire nous-mêmes des composants clés en Suisse, dans la mesure du possible». Cela donne à la Suisse un gage, relève-t-il.

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