Dix-neuf entreprises sont désormais visées par cette procédure, selon un communiqué du gendarme de la concurrence, qui précise que toutes bénéficient de la présomption d'innocence.
Cette enquête, qui doit durer deux ans, avait été annoncée en novembre dernier. La Comco n'avait alors pas identifié les trois entreprises visées à l'époque. Elle avait dit soupçonner ces sociétés «d'avoir coordonné leurs offres et prix pour des adjudications publiques et privées pendant plusieurs années» pour des appels d'offres dans le génie civil.