Le laboratoire insiste dans son communiqué mardi sur le fait que ses activités de recherche ne sont pas concernées par ces mesures.

L'opération doit ramener la proportion des effectifs helvétiques du groupe légèrement en-dessous des 13% affichés depuis l'autonomisation de l'ancienne filiale génériques et biosimilaires Sandoz à l'automne dernier, à comparer avec 10-11% en moyenne sur les dernières années.

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Ayant déjà concentré ses activités sur les seuls médicaments originaux, la multinationale rhénane explique vouloir avec cette restructuration désormais optimiser sa structure opérationnelle au travers notamment d'une réallocation de ses ressources.

La restructuration doit s'accompagner d'une concentration d'activités sur des sites où Novartis dispose déjà d'une masse critique, comme la Slovénie, l'Autriche ou l'Inde, ainsi que d'un renforcement dans les centres d'innovation, à Bâle tout particulièrement.

L'organisation de développement de Novartis emploie plus de 12'500 personnes à l'échelle mondiale, dont 3000 en Suisse. Le total des effectifs dépassait encore les 76'000 équivalents plein temps en fin d'année dernière.