Ces distinctions permettent aux pays à faibles ou modestes revenus d'inclure ces instruments dans leurs programmes d'éradication du cancer du col de l'utérus et d'en faciliter ainsi l'accès.
La multinationale bâloise souligne dans son communiqué que neuf victimes sur dix de ce type de cancer - causé par une infection au papillomavirus humain (HPV) - vivaient dans des pays à faibles ou modestes revenus.
Les nouvelles préqualifications de l'OMS couvrent notamment l'emploi du test du HPV de Roche par autoprélèvement sur ses terminaux d'analyse Cobas, homologué il y a tout juste un mois par l'agence sanitaire des Etats-Unis (FDA).