Les rejets de CO2 liées aux combustibles ont ainsi baissé de 41,7% par rapport à leur niveau de 1990, écrit l'OFEV dans un communiqué.

L'augmentation de l'efficacité énergétique des bâtiments et l'utilisation croissante des énergies renouvelables pour le chauffage expliquent cette évolution.

La pollution liée aux carburants, elle, stagne. Elle est restée au même niveau entre 2022 et 2023, enregistrant une faible baisse de 5,2% depuis 1990.

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SDA