L'autorisation a été accordée dès le 27 juin en raison d'un «besoin urgent non satisfait», indique un communiqué paru mardi.

Selon les données de l'étude de phase III Alina, Alecensaro (alectinib) a réduit de 76% le risque de récidive ou de décès par rapport à la chimiothérapie seule chez des patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules ALK-positif au stade précoce et dont la tumeur a été enlevée. En temps normal, environ la moitié des patients en phase précoce ont subi une rechute de la maladie après l'opération de la tumeur.

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Le cancer du poumon est l'une des causes de décès par cancer les plus fréquentes au monde. Environ une femme sur 15 et un homme sur 14 au Canada développeront ce type de cancer au cours de leur vie, rappelle Roche.