Trente-neuf appareils ont été livrés au cours du trimestre, soit dix de plus que l'année précédente, et l'entreprise a affiché des revenus de 2,2 milliards de dollars américains.

Le PDG Eric Martel a indiqué dans un communiqué que «le marché de l'aviation d'affaires demeurait solide à l'échelle mondiale» et estime que la diversification du portefeuille de Bombardier leur a permis de «saisir de nouvelles occasions».

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Les résultats du deuxième trimestre de Bombardier reflète «la gestion la plus solide de l'industrie de la chaîne d'approvisionnement», a-t-il poursuivi.

Au 30 juin cette année, le carnet de commandes totalisait 14,9 milliards de dollars, «alimenté par une solide activité de prise de commandes». La compagnie basée à Montréal indique être en bonne voie d'atteindre ses prévisions pour l'année et prévoit livrer entre 150 et 155 avions au total.

Les activités de service ont contribué de 507 millions de dollars aux revenus, une augmentation «notable» de 18% par rapport à l'année dernière.

Bombardier a utilisé 68 millions de dollars au sein de ses flux de trésorerie, ce qu'elle estime être «conforme aux attentes».

Bombardier est devenu exclusivement un constructeur de jets d'affaires après avoir finalisé début 2021 la cession de sa division «transport» (fabrication de matériel roulant ferroviaire) à Alstom, transaction qui lui a permis de réduire son endettement.

Les liquidités disponibles s'établissaient à 1,4 milliard de dollars.