Le chiffre d'affaires sur les six premiers mois de l'année a stagné (+5% hors effets de change) à 29,8 milliards de francs.
La normalisation des recettes de la relativement modeste division Diagnostics - qui avait littéralement explosé pendant la pandémie - s'est encore amenuisée, pour ne plus représenter qu'une contraction de 1% à 7,2 milliards.
Le segment Pharma a, lui, poursuivi son essor, avec des revenus de 22,6 milliards, en hausse de 1%.
La rentabilité a progressé. L'excédent d'exploitation (Ebit) apuré de tout élément non récurrent a gagné 4% à 11,3 milliards. Le bénéfice par bon de jouissance de base s'est enrobé de 13 centimes à 10,23 francs.
La direction entend toujours générer sur l'ensemble de l'exercice une croissance de l'ordre de 5%, hors effets de changes, assortie désormais d'une progression de près de 10% du bénéfice de base par bon de jouissance. Les actionnaires peuvent compter sur une nouvelle augmentation de leur rémunération.