Ted Pick, patron de l'établissement, a indiqué dans un communiqué que le trimestre avait été «solide» dans un «environnement constructif» dans l'ensemble de ses activités.

Entre juin et septembre, le chiffre d'affaires a enflé de 16% sur un an à 15,38 milliards de dollars (13,18 milliards de francs) et le bénéfice net décollé de 34% à 3,03 milliards (2,60 milliards de francs).

Le consensus des analystes de FactSet avait anticipé, respectivement, 14,35 milliards et 2,59 milliards.

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Le bénéfice net par action à données comparables, valeur privilégiée par les marchés, ressort à 1,88 dollar (+36%). Le consensus avait anticipé 1,59 dollar.

La banque a signalé une «forte performance» dans le segment des actions et des produits à taux fixes, dopés par l'appétence des clients face à l'évolution des marchés, ainsi qu'une «dynamique croissante» dans la banque d'investissement dont le chiffre d'affaires a bondi de 52%.

En gestion de fortune, le chiffre d'affaires a atteint un record de 7,3 milliards de dollars dans le sillage de la hausse des commissions perçues par la banque.

En effet, les actifs sous gestion de cette branche ont grossi de 64 milliards de dollars - pour atteindre 6.000 milliards à fin septembre -, dont 36 milliards d'actifs générant des commissions ce qui porte leur total à 2.300 milliards.

Dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse de New York, l'action Morgan Stanley bondissait de 3,46%.