Il est essentiel de comprendre pourquoi la mesure, identifiée comme prioritaire, à Sierre-Chippis, n’a jamais vu le jour alors qu'elle avait été approuvée par le Grand Conseil en 2008, estiment les signataires des deux résolutions issus des rangs du Centre, du PLR, de l'UDC, du PS et des Vert-e-s. Il s'agit de répondre à un «besoin de transparence» et de clarifier les responsabilités.

Parmi les questions auxquelles la CEP devra répondre figurent notamment: qui sont les acteurs (politiques, administratifs, techniques, publics ou privés) qui ont contribué à ce retard ou à cet abandon? Y a-t-il eu des défaillances institutionnelles?

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