Un projet de cette dimension a besoin, outre d'un examen technique, d'une légitimation par la démocratie directe, a déclaré Matthias Braun, directeur de la société coopérative nationale pour le stockage des déchets radioactifs (Nagra) dans une interview publiée mardi par la Neue Zürcher Zeitung (NZZ).
Des oppositions pourraient bloquer la procédure, a-t-il ajouté. Il interpréterait une éventuelle approbation du peuple suisse comme un «signal fort» permettant d'aller de l'avant.
La semaine dernière, un comité avait exigé qu'après le Parlement, le peuple se prononce lui aussi sur le projet. Les opposants ont notamment critiqué l'absence de plan B.