La seule issue est de s'asseoir le plus rapidement possible à la table des négociations avec les syndicats, déclare M. Imhof dans un entretien diffusé samedi par les journaux alémaniques du groupe de presse Tamedia.
«Je ne veux pas dire par là que nous devons accepter sans réfléchir chacune de leurs revendications», avertit-il. Mais la convention collective de travail (CCT) assure la stabilité dans la branche, relève-t-il. «Si nous ne négocions rien, nous ne pouvons rien améliorer». Il note que la situation actuelle est mauvaise pour l'image de la branche.