La banque centrale a profité par ailleurs de sa dernière réunion de l'année pour réviser ses prévisions macroéconomiques pour 2025, s'attendant à une croissance légèrement plus élevée qu'en septembre, désormais à 2,1%, avec un chômage quasi stable. Elle n'attend pas de retour de l'inflation à sa cible de 2% avant fin 2026.