«De nouvelles méthodes de mesure et de simulation ont conduit à l'adaptation de ces bases de planification», explique M. Ducrot dans un entretien diffusé vendredi par Le Temps et la Neue Zürcher Zeitung. Ces méthodes montrent qu'une exploitation robuste et stable du réseau n'est pas possible avec une densité de trains accrue, ajoute-t-il.

Le directeur des CFF pointe également le fait que les projets ferroviaires ont été planifiés sans réserve financière. «Les modifications, qui augmentent les coûts, en entraînent donc immédiatement des supplémentaires qui ne sont pas financés».

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M. Ducrot relève en outre que «beaucoup d'éléments n'étaient pas connus» lors de la réalisation des plans.