En Suisse, ces puces sont largement utilisées dans la recherche académique, mais aussi par la recherche. La Suisse a été classée dans le deuxième groupe, elle continuera à recevoir des puces, mais en quantité limitée, explique le Vaudois dans une interview à la NZZ am Sonntag.
La classification décidée par l'administration Trump «est difficile à comprendre», a-t-il souligné. M. Parmelin parle d'un «autogoal» pour Washington. Dans les écoles polytechniques fédérales, on produit avec ces puces des innovations qui sont aussi importantes pour les Américains, explique-t-il.
Des discussions sur ce sujet ont déjà commencé avec les Etats-Unis. L'objectif est de pouvoir inscrire la Confédération dans le groupe des pays bénéficiant d'un accès illimité.