Depuis que le président américain a imposé des droits de douane sur l'acier et l'aluminium, les voitures et, enfin, la majorité des importations en provenance de l'Union européenne, Bruxelles insiste sur la recherche d'un accord mutuellement bénéfique avec Washington. Mais Ursula von der Leyen se dit prête à intensifier ses menaces de représailles et à cibler les services américains si les négociations venaient à échouer.

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«Il existe un large éventail de contre-mesures», a-t-elle indiqué. «Par exemple, on pourrait imposer une taxe sur les revenus publicitaires des services numériques.»

Elle a évoqué l'utilisation de l'«instrument anti-coercition», une arme surnommée «bazooka», pensée comme un outil de dissuasion à activer après épuisement des voies diplomatiques.