Un personnel en bonne santé est plus motivé, plus performant, plus créatif et plus fidèle. L’entreprise devient alors plus efficace et plus attractive.
Des effectifs épuisés ou absents entraînent des frais. Les baisses de productivité dues au stress coûtent des milliards de francs tous les ans aux entreprises suisses.
Une gestion de la santé systématique a un effet sur la santé individuelle, mais aussi sur l’ambiance de travail. Elle renforce la valorisation, la satisfaction et l’identification à l’entreprise, ce qui accroît la motivation et réduit les fluctuations, un aspect décisif dans des secteurs qui manquent de main-d’œuvre. Mais la GSE réduit aussi les absences.
Selon des études, la GSE peut réduire d’environ 20 % les frais dus aux absences. Le potentiel d’économies concret dépend des effectifs, de la masse salariale et du taux d’absence. Les entreprises oublient souvent qu’en plus des salaires à verser, il existe aussi des coûts indirects (deux à quatre fois plus élevés), comme les pertes de production et de savoir-faire, les retards de livraison et les frais d’assurance plus élevés.
Elle intervient tant sur les conditions de travail et les processus que sur la sensibilisation et de la qualification continues des cadres : comment gérer un personnel en bonne santé, stressé ou malade ? Comment identifier les signes et agir avant la maladie ? Les cadres ne doivent pas juste se concentrer sur les effectifs absents. Il faut aussi se demander comment les individus peuvent prendre soin d’eux-mêmes.
On met souvent l’accent sur les effectifs malades. Mais comment se porte le reste du personnel ? La valorisation est un levier important et simple pour obtenir des changements positifs.
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