La peine privative de liberté est assortie d'une peine pécuniaire de 30 jours-amendes à 50 francs, avec sursis également. Les accusations de gestion déloyale des intérêts publics et blanchiment d'argent n'ont pas été retenues. Le jugement n'est pas définitif et peut être attaqué devant la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.

L'ancien gestionnaire de portefeuille de la caisse de pension comparaissait pour avoir coordonné des transactions boursières professionnelles et pour son propre compte. Le Ministère public de la Confédération (MPC) avait requis une peine de 4 ans de prison.

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